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Ségolène trop floue...
17/02/2007 16:38
Je vis sur 2 planètes: la planète Ségolène, à Dunkerque, on va gagner, c'est bon c'est sur, et la planète terre ou les profs qui se disent de gauche vont voter Bayrou (un peu à droite quand même...), où Ségolène est trop ceci, trop cela, où la campagne n'avance pas... Je ne ferai pas marche arrière, d'une part car je n'en ai pas envie d'autre part parce que ces batailles politiciennes ne m'intéressent pas: la règle des 3 L s'applique à l'opposition de l'Autre (réference à Delebarre, maire de Dunkerque); Léchage, Lachage, Lynchage, on est adns la phase de Lynchage de Ségolène, on veut évaluer au centime près son programme, on ne le fait pour aucun autre candidat, on est à la recherche du moindre faux-pas, la gauche, trop orgueilleuse, refuse d'admettre que Ségolène est à gauche, que son programme unit.
Ces cons de média à la botte de l'Autre refuse de jouer leur rôle d'informateur, de médiateur, le mec de Chazal l'admet, n'est-ce pas une preuve?? Politique fiction où on ne parle pas du bilan désastreux de la droite, où on ne parle pas du financement du projet de l'Autre, où on ne parle pas de la politique de sa ville (neuilly...). L'Autre vendrait sa mère pour être élu, il en veut trop pour être sincère, le manitou du MEDEF unit de l'extrême gauche à l'extrême droite. Trop louche pour être sincère, trop démago pour être vrai, trop ambitieux pour être fiable.
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WHO IS REALLY SARKOZY
09/02/2007 23:57
Testimonianza : le livre de Sarkozy préfacé par un néo fasciste
mardi 6 février 2007
L’auteur choisi pour la préface italienne du dernier livre de Nicolas Sarkozy mérite d’être cité puisqu’il s’agit du leader post-fasciste Gianfranco Fini.
J’avoue mon incrédulité lorsque j’ai reçu la couverture de Testimonianza (Témoignage, en VF, sorti il y a quelques semaines en Italie) de la part d’un ami romain.
Pour ceux qui connaissent peu la politique italienne, Gianfranco Fini dirige l’Alliance Nationale.
Son parti est l’héritier du MSI, parti fasciste italien dont il a conservé le logo : une flamme tricolore, qui a aussi inspiré le Front National en France. Et, comme le FN*, Alliance Nationale, en quête de respectabilité, se définit désormais comme un parti de « centre-droit ».
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L'immigration
09/02/2007 23:55
Les réponses de Ségolène Royal aux questions de France Terre d'Asile |
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08-02-2007 |
Monsieur le Directeur général,
J’ai le plaisir de vous adresser ci-joint les réponses au questionnaire que vous m’avez envoyé en ma qualité de candidate à l¹élection présidentielle de 2007.
Ce questionnaire est pour moi l’occasion de réaffirmer mon attachement au droit d’asile, mais également mon souhait de bâtir une politique d’immigration partagée. Les propositions que vous émettez contribuent à un débat public utile et serein sur des sujets qui trop souvent font l’objet de récupérations et de manœuvres politiciennes.
Je tiens à saluer le travail de votre association et de tous ceux qui au quotidien travaillent aux côtés des demandeurs d’asile et des réfugiés. Plus récemment, votre action en faveur des ex-squatteurs de Cachan a été déterminante.
Je vous prie de croire, Monsieur, à l¹assurance de mes sentiments les meilleurs.
Ségolène ROYAL
1) Compte tenu de l’évolution du monde, des conflits, pensez-vous que le droit d’asile, tel qu’issu de la Convention de Genève, parvient encore à répondre à la situation et aux besoins des réfugiés dans le monde ?
Je reste attachée à la Convention de Genève pour une raison simple. Dans le contexte international actuel, une remise en cause, même derrière les meilleures déclarations de principe, de ce fondement essentiel de la protection des droits humains risquerait d’affaiblir la portée générale du droit d’asile.
On ne peut que constater une contradiction entre la diminution du nombre de demandeurs d’asile en Europe et la situation internationale. Cette diminution ne peut être qu’inquiétante au regard des objectifs poursuivis.
Le droit d’asile fait trop souvent les frais des débats sur la gestion des flux migratoires. Cela se fait au détriment des réfugiés et du respect des engagements internationaux que la France a souscrits.
2) Depuis 2004, la mise en œuvre du concept de « pays d’origine sûre » conduit à traiter en procédure prioritaire les demandes d’asile émanant de ressortissants originaires de 17 pays, dont la Bosnie, la Géorgie et l’Ukraine. Ne pensez-vous pas que le classement d’un pays dans la liste des pays d’origine sûre obéit plus à des considérations d’ordre diplomatique qu’à un souci de protection ?
Permettez-moi d’élargir cette question pour répondre plus généralement sur l’introduction et l’examen de la demande d’asile.
Il faut garder à l’esprit le souci des rédacteurs de la Convention de Genève de protéger les potentiels réfugiés de toute contingence diplomatique. L’asile n’est pas une faculté pour un Etat, c’est un devoir, celui-ci devant en aménager les conditions d’exercice pour en assurer un droit effectif.
La réduction des délais d’examen des demandes ne doit pas s’accompagner d’une baisse des garanties, notamment lors du dépôt de la demande. La question des groupes vulnérables (femmes, mineurs, personnes persécutées en raison de leur orientation sexuelle…) doit être mieux prise en compte. La présence de mineurs en zone d’attente est particulièrement préoccupante.
Les procédures prioritaires, qui représentent aujourd’hui un quart des demandes, doivent être l’exception. De plus, une procédure prioritaire ne peut être une procédure expéditive, contraire au principe d’égalité de traitement.
Dans tous les cas, il convient de respecter le caractère fondamental de l’examen individuel de chaque demande.
Pour ce qui est du concept de pays d’origine sûre, je souhaite un moratoire. Cela signifie que nous devons surseoir à son application en France, et entamer une renégociation à l’échelle européenne.
Nous voyons bien que cette liste ne répond pas à l’obligation de respect de l’Etat de droit et de protection des droits humains, qu’il y figure des Etats où la protection des libertés n’est pas pleinement assurée.
3) La Commission de recours des réfugiés constitue aujourd’hui la juridiction administrative annulant le plus de décisions administratives. Face à ce constat, une réforme des organes de détermination des réfugiés s’impose-t-elle ?
Ce taux d’annulation, anormalement élevé, mine le crédit porté à l’ensemble de la procédure. Il en souligne la défaillance, non pas tant dans ses objectifs que dans les ressources financières qui lui sont allouées pour son fonctionnement.
Il faut continuer l’effort d’augmentation du nombre de places dans les Centres d’Accueil pour Demandeurs d’Asile (CADA). L’écart entre le taux de reconnaissance selon qu’on se trouve hébergé en CADA ou non est anormalement élevé.
Mais il faut aussi donner plus de moyens en faveur de l’accompagnement social et juridique des demandeurs, afin de garantir l’égalité des demandeurs au regard de la procédure. C’est une condition nécessaire à la réduction du nombre d’annulation de décisions de l’OFPRA par la CRR.
Il convient de renforcer les moyens humains de l’OFPRA, afin de permettre un examen effectif et réellement individualisé de toute demande. Il faut ensuite permettre aux agents de l’OFPRA de disposer des moyens d’effectuer leurs missions.
Les délais menant à l’octroi du statut de réfugié restent trop longs, de façon encore plus dramatique lorsque les procédures débouchent sur un refus définitif. Cela n’est pas tolérable.
Nous devons d’ailleurs réfléchir à la possibilité de rétablir le droit au travail pour les demandeurs le temps de la procédure, pour ne pas les enfermer dans la précarité.
L’efficacité de la procédure doit être au service de la dignité humaine.
4) L’Union européenne a engagé en 1997 un processus d’harmonisation des politiques d’asile et d’immigration qui peine à prendre forme. Que proposez-vous pour faire converger les systèmes nationaux de protection ?
La France assumera la présidence du Conseil au 1er semestre 2008. Il conviendra alors de consulter nos partenaires européens et d’établir un diagnostic du travail accompli à ce jour.
Il me semble nécessaire de rapprocher les critères d’examen d’une demande d’asile, et d’engager une harmonisation du statut de réfugié, conduisant à réduire l’ « asylum shopping ».
La nouvelle Agence européenne des droits fondamentaux pourrait mener une étude annuelle sur l’état de l’asile en Europe et formuler des propositions visant à réduire les disparités entre Etats. Garantir un respect effectif du droit d’asile, c’est aussi établir un mécanisme européen de contrôle du respect des engagements de la Convention de Genève, dont en premier lieu, le principe de non refoulement. Cela passe également par une révision du règlement de Dublin II qui fait peser une charge insupportable sur les pays situés au sud et à l'est de l'Union européenne, afin d'instaurer un dispositif plus équitable dans la répartition des responsabilités des Etats membres en matière d'asile, au sein de l'UE.
Sur la scène européenne, la France doit continuer de défendre une vision axée sur un haut niveau de protection. Les compromis nécessaires en matière de normes minimales ne doivent pas aboutir à un affaiblissement général du niveau de protection, ni viser à diminuer le nombre de demandeurs.
Le dispositif européen devrait également traduire un équilibre entre l'intégration des migrants légaux et la lutte contre l'immigration clandestine ; or aujourd'hui la balance penche surtout du côté des mesures répressives, alors que l'on sait très bien que l'Europe forteresse avec ses barbelés n'arrêtera pas les personnes fuyant la misère.
5) Depuis quelques années, certains pays, scandinaves et nord-américains entre autres, ont mis en place des programmes de réinstallation destinés à réinstaller sur leur territoire les personnes dont la protection ou l’intégration n’est pas totalement acquise dans leur premier pays d’exil. Pensez-vous que notre pays doit adopter de telles mesures ?
C’est une solution préconisée par le Haut Commissariat aux Réfugiés qui mérite toute notre attention.
Nous devons faire jouer au maximum le principe de solidarité, et ne pas se défausser devant les responsabilités qui incombent à chaque État.
Mais ce type de programmes ne peut en aucun cas se substituer aux obligations qui incombent aux Européens en vertu de la Convention de Genève de 1951 sur les droits de réfugiés.
Ces programmes devraient en tous cas s'accompagner de dispositifs d'évaluation sur l'effectivité de la protection offerte aux réfugiés.
La France devrait augmenter sa contribution au budget du Haut Commissariat aux Réfugiés, afin de participer à l'effort global pour aider les réfugiés, d'autant plus qu'il nous faudra faire face à la problématique des réfugiés climatiques qui risque de prendre de l'ampleur dans les prochaines années.
6) Alors que le législateur français vient de supprimer la possibilité pour les personnes en situation irrégulière d’obtenir une régularisation au bout de dix ans de séjour irrégulier sur le territoire, d’autres pays européens comme l’Espagne et l’Italie ont lancé des programmes de régularisation collective. Accepteriez-vous de vous engager sur la même voie ? Dans l’affirmative, sur la base de quels critères ?
Les contextes espagnols et italiens ne sont pas les mêmes. Leur histoire au regard de l’immigration également.
Je ne suis pas favorable à une régularisation globale, mais à une régularisation sur critères. Ceux-ci devront être la durée de la présence sur le territoire français, nous ne pouvons accepter que des personnes soient condamnées à la clandestinité perpétuelle, les attaches personnelles, la scolarisation ainsi que la possession ou la promesse d’un contrat de travail. Nous permettrons un re-examen des dossiers des demandeurs d’asile déboutés que l’on qualifie communément de « ni-ni », ni expulsables ni régularisables.
Au concept de « faux demandeur d’asile », qui vise à discréditer les mécanismes du droit d’asile comme étant la porte d’entrée à l’immigration irrégulière, vous opposez celui de « faux débouté du droit d’asile ». Ainsi, vous soulignez que certaines lacunes, absence de moyens mais aussi volonté politique délibérée produisent toujours plus de rejet des demandes, quand il ne s’agit pas simplement d’en empêcher le dépôt. Ces personnes déboutées viennent ensuite grossir les rangs des sans-papiers.
Le formidable succès du Réseau Éducation Sans Frontières et de l’élan de solidarité qui s’est fait dans de nombreuses écoles est la prise de conscience par beaucoup que ceux que l’on nous présente comme des délinquants, des fraudes, sont en fait nos voisins, nos amis, sont les parents des enfants à côtés des leurs. Si la politique dite « d’immigration choisie » tourne le dos aux valeurs d’accueil et de tolérance de notre société, ce qui se passe dans nos écoles montre le vrai visage des Français, celui de la tolérance et de la fraternité.
7) La dernière loi de maîtrise de l’immigration a mis en place un nouveau cadre légal permettant aux immigrés hautement qualifiés d’accéder au marché du travail français. Comment vous semble-t-il possible de concilier le souhait des immigrés à aspirer à des meilleurs conditions de vie et celui de répondre aux besoins de l’économie française, sans pour autant nuire au développement des pays du sud en les privant de leurs cerveaux ?
L’immigration pose dans tous les pays développés des questions difficiles qui doivent être traitées sans démagogie. Tout au long du XXème siècle, l’immigration a contribué au dynamisme démographique et au développement économique des pays du nord. Même dans notre pays dont la natalité reste l’une des plus élevées d’Europe, l’immigration restera au XXIème siècle un facteur d’équilibre. Fermer la porte aux immigrés serait nous condamner au déclin. Pourtant, nous ne pouvons, pas plus que nos voisins, ouvrir purement et simplement nos frontières sans créer des déséquilibres économiques et sociaux insupportables, notamment une forte pression à la baisse sur les salaires.
L’expérience de ces dernières années nous montre que la multiplication des obstacles administratifs n’empêche pas l’immigration clandestine, puisque le nombre de sans-papiers ne baisse pas. La sécurisation des parcours de séjour est également nécessaire pour ceux en situation régulière. La politique d’immigration que je veux mettre en œuvre repose sur la reconnaissance des réalités économiques : il faut d’abord que l’Europe fasse beaucoup plus pour l’aide au développement en Afrique et pour une politique d’échanges et de croissance dans le bassin méditerranéen, car le seul argument qui peut convaincre un candidat à l’émigration de rester au pays, c’est le développement économique. Ensuite, pour créer cette dynamique de développement, il ne faut pas multiplier des règles qui sont d’ailleurs aussitôt contournées, mais faciliter les migrations de travail en permettant les allers et retours avec un même visa. J’ai proposé de confier aux préfets et aux acteurs économiques régionaux le soin de réguler ces migrations en fonction des besoins réels de l’activité économique et du marché du travail. Nous pourrons alors rendre plus crédible la lutte contre le travail illégal dans des secteurs comme le bâtiment et l’hôtellerie-restauration.
Enfin, je suis bien consciente que, derrière les chiffres claironnés par le gouvernement, il y a le chiffre noir des clandestins, installés parfois depuis de longues années, qu’on ne veut pas régulariser, mais qu’on sait ne pas pouvoir expulser, malgré quelques cas dramatiques comme celui de la famille Raba, véritables boucs émissaires de l’impuissance gouvernementale. Là encore, l’expérience montre que les régularisations massives ne font qu’alimenter les filières d’immigration clandestine. Comme le prévoit le programme du parti socialiste, il faudra rétablir la régularisation de plein droit après dix ans de séjour, qui permettait de régler de nombreux cas sans provoquer les mêmes effets. Mais je m’engage aussi à ce que les dossiers des familles en cours d’intégration soit réexaminés au cas par cas, non pas sur la base de critères purement administratifs, mais en s’appuyant sur le travail des communes, des établissements scolaires et des associations qui accueillent et qui parrainent ces familles.
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VERY INTERESTING!!!!!
09/02/2007 23:51
Par Laurent Neumann, directeur de la rédaction de Marianne.
1)Question à propos des débats participatifs : Tout le monde ou presque s'est moqué de ces fameux débats participatifs initiés par Ségolène Royal – à commencer par les journalistes qui n'ont pas été les derniers à en rire. « On ne fait pas campagne en se contentant d'écouter »… « Donner la parole au peuple, c'est populiste »… On en passe et des meilleures. Or, que lis-je dans les médias ? Jean-François Copé, sarkozyste de choc, a décidé de lancer des « débats interactifs » sur des thèmes aussi variés que la question de l'identité ou les Français et l'argent… Or là, bizarrement, plus personne ne rigole. Quant aux émissions de TF1 où un candidat est confronté aux questions de « 100 Français », c'est quoi sinon des débats participatifs ? Doit-on comprendre que lorsque c'est l'UMP ou TF1, c'est forcément du sérieux ?
2) Question à propos d'Alain Finkielkraut : Le philosophe Alain Finkielkraut s'est expliqué sur France-Inter et dans Libération : non, contrairement à une rumeur malveillante, il n'a pas l'intention d'appeler à voter pour Nicolas Sarkozy. Dont acte. Une question tout de même : pourquoi dépense-t-il tant d'énergie – et d'intelligence, il faut bien le dire – à ne critiquer que la candidate de la gauche ? N'a-t-il donc rien à dire sur le programme de Sarkozy, sur les discours de Bayrou ou sur la candidature de Bové ?
3) Question à TF1 : Robert Namias, le directeur de l'information de TF1, dont on a bien compris qu'il n'aimait pas François Bayrou – ce qui est son droit – s'est-il demandé si, en attaquant ainsi le candidat UDF dans les médias ou en ne lui accordant qu'une heure d'émission (quand Sarko et Ségo, eux, ont droit à deux heures), il ne faisait pas le jeu de… Bayrou ?
4) Une dernière question pour la route (qui est encore longue…) Quelque chose me dit que, dimanche soir, lorsque Ségolène Royal aura enfin condescendu à dévoiler son programme, les médias vont décortiquer chacune de ses propositions jusqu'à l'os. Question : quand le programme de Nicolas Sarkozy (et ceux, d'ailleurs, de tous les autres prétendants à l'Elysée) subira-t-il le même sort ?
A la semaine prochaine. Avec un peu de chance, on aura peut-être les réponses…
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VIVE LEPEN!
09/02/2007 23:41
Vive lepen, oui vive lepen! Tant que les gens ne l'auront pas eu à la tête de l'état ils ne comprendront pas qui il est: pas convaincu, cruche, niaise, pas crédible... j'en passe et des meilleures: allez voter Bayrou, Laguiller, Besancenot (qui ne veut pas être élu...), et qui vous voulez, et le 22 Avril 2007 à 20h, lorsque s'afficheront les 2 belles photos de lepen et sarko on se posera des questions! Vous n'avez pas compris?? "Oui mais nos convictions, comprends-tu...?" NON, je ne comprends pas, rien n'est tout blanc ou tout noir, Ségolène, le PS ne sont pas parfaits, mais que voulez vous pour la France? Que voulons-nous?? Il faut se mobiliser, la gauche n'est pas majoritaire en France alors si on se disperse dans des conneries alors on n'avancera jamais. Votez qui vous voulez, une fois dans l'isoloir vous êtes face à votre bulletin et votre conscience, vous pouvez même voter lepen mais dans tous les cas: n'oubliez pas, et n'oubliez jamais qui sont les vrais ennemis de la République.
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