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Là ou Séolène passe la droite ne repousse plus....
25/12/2006 16:56
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A ma championne
24/12/2006 19:51
Madame Royal,
Je vous ai déjà écrit, et j’ai eu le bonheur de vous lire. C’est peut-être une petite arabe en perdition qui vous écrit, je puis juste vous dire qu’elle vous admire et oh combien ! Vous ne savez pas ce qu’a représenté pour moi le 16 Novembre, le moment où j’ai mis dans l’urne cette petite enveloppe avec votre nom : je me suis sentie pleinement Française et fière de l’être. Qu’est ce que c’est beau d’être socialiste, qu’est ce que c’est beau d’y croire à nouveau fort… Je vous ai aperçue à Lens, à Lille Grand Palais et à chaque fois c’est indescriptible, j’ai l’impression d’être la plus forte du Monde, rien ne peut plus m’arriver quand vous êtes là, sans le vouloir les larmes se sont mises à couler sur mon visage, de la peine, mais de la joie aussi, un sentiment ambigu inexplicable. La peine que je n’expliquerai pas mais la joie de vous voir en face, enfin de si près, souriante… Toujours aussi humble et modeste. La défaite ne me fait pas peur car vous êtes là, vous n’avez pas idée de tout ce que peuvent projeter les gens sur vous en vous voyant : l’espoir. Vous êtes l’allégorie parfaite de l’espoir, du renouveau, un combat sans précèdent s’annonce, je n’ai pas eu la chance de connaître François Mitterrand mais je lis tout sur lui et voyez-vous j’ai l’impression de bien le connaître car je vous connais. Ceci est presque drôle, les gens vous connaissent parfaitement et vous ne savez rien d’eux… Je ne sais pas si vous allez lire ce mail, avec la campagne je sais que cela sera difficile, entre le bac, segosphère, RESO, les législatives avec Bernard Roman je trouve important de vous écrire. Car vous êtes mon mentor, mon modèle, ma star, mon héroïne… Je vous admire comme je n’ai jamais admiré personne, et quand je me rappelle des moments où je me demandais si je n’allais pas, moi aussi, me mettre à casser des voitures, je me dis que vous êtes une chance et comptez sur moi pour vous saisir et ne plus vous lâcher. Je crie à qui veut bien l’entendre, que non, cette année le bac n’est pas ma priorité, un mandat présidentiel c’est 5 ans, et 5 ans de Sarko je ne peux pas supporter, le bac je le repasserai si vraiment ça coince. N’ayant pas la nationalité Française je ne pourrais pas voter en 2007 mais je ferai tout, mais absolument tout pour que celle qui a réveillé en moi un but dans la vie soit élue. Oui un but… Vous avez quelque part donné un sens à ma vie, vous aiguillez mes pas sans même le savoir, et je ne suis pas la seule dans ce cas. Rendez-vous compte du trésor que vous êtes, de la merveille de la nature, parfois je me dis que j’aurais dû habiter dans le Poitou ! J’aurais trop de choses à vous dire, vous m’inspirez tellement, je n’ai pas la chance de rêver tous les jours mais j’ai un avantage sur vous car il me suffit de penser à Ségolène Royal et je m’évade au-delà de tous les mondes. Avancez, continuez d’avancer, la France a besoin de vous !
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Notre premier Secrétaire: FRANCOIS HOLLANDE
24/12/2006 14:46
Alors qu'il étudie le droit, François Hollande est à la tête de l'Union nationale des étudiants de France. Diplômé de l'IEP de Paris, il entre à HEC en 1974. Il commence à faire ses gammes en politique en présidant le comité de soutien de François Mitterrand. Il poursuit ses études à l'ENA et devient en 1980 auditeur à la Cour des comptes. En 1979, il adhère au parti socialiste et, grâce à Jacques Attali, se rapproche de François Mitterrand. Il est son conseiller pour les questions économiques et est même chargé de mission à l'Elysée en 1981. Deux ans plus tard, il obtient le poste de Directeur de cabinet de Max Gallo et de Roland Dumas sous le gouvernement Pierre Mauroy. Mais il reste très attaché à son fief local, en Corrèze, où il multiplie les mandats : conseiller municipal d'Ussel jusqu'en 1989, député et membre du Conseil municipal de Tulle, Adjoint au maire et maire de Tulle, membre du Conseil régional du Limousin. En 1994, il devient secrétaire national du Parti socialiste, toujours aux questions économiques, et soutient la campagne présidentielle de Lionel Jospin. Alors que celui-ci est nommé Premier ministre en 1997, François Hollande est élu député, puis Premier secrétaire du Parti socialiste. Après le retrait de la vie politique de Lionel Jospin en 2002, il dirige seul la gauche. François Hollande est l'auteur en 1991 du livre 'L'heure des choix' avec Pierre Moscovici.
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SEGOLENE ROYAL
24/12/2006 14:41
Fille d'un militaire, Ségolène Royal obtient sa licence de sciences économiques à Nancy et est diplômée de l'IEP de Paris. Elle poursuit ses études à l'ENA, ce qui lui permet d'être conseillère de tribunal administratif en disponibilité. Jacques Attali la présente à François Mitterrand, qui la nomme Conseillère technique au secrétariat général de la présidence de la République. Elle s'occupe de la jeunesse et des sports, puis des affaires sociales et adhère au Parti socialiste. Elle entre dans divers gouvernements : en 1992, elle est nommée Ministre de l'Environnement, en 1997, Ministre déléguée à l'Enseignement scolaire, en 2000 Ministre déléguée à la Famille et à l'Enfance, puis en 2001 Ministre déléguée à la Famille, à l'Enfance et aux Personnes handicapées. Députée des Deux-Sèvres, elle réussit le concours d'avocat au barreau de Paris et est engagée dans le cabinet Teitgen tout en continuant de siéger à l'Assemblée nationale. Aux élections régionales de 2004, Ségolène Royal remporte le siège de présidente du conseil régional de Poitou-Charentes, la terre natale de Jean-Pierre Raffarin. Mais en 2006, elle signe son plus gros coup présentant sa candidature à l'élection présidentielle de 2007 et en s'affichant en tête des sondages. Ambitieuse et décalée, Ségolène Royal a fait de sa singularité sa marque de fabrique.
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Aristide Briand
24/12/2006 14:39
Après des études de droit à Paris, Aristide Briand s'installe comme avocat à Nantes. Sous l'influence de Fernand Pelloutier, leader syndicaliste et théoricien de la grève générale, il devient le propagandiste de cette idée. Co-fondateur avec Jean Jaurès du parti socialiste français, ses dons oratoires font de lui un brillant parlementaire. Sa première grande mission consiste en la rédaction du rapport sur le projet de loi établissant la séparation de l'Eglise et de l'Etat. La Première Guerre mondiale le conduit à opter pour une politique de réconciliation avec l'Allemagne mais en s'efforçant de maintenir le statu quo établi par le Traité de Versailles. Briand n'a de cesse de multiplier les occasions de fonder la paix en Europe. Malheureusement, les intérêts économiques nationaux que la crise économique internationale fragilise font échouer la politique 'briandiste'. En avance sur son temps, il aspirait à une Europe unie et pacifiée. Mais, seul à défendre cette idée nouvelle, il doit se retirer de la scène politique en 1932.
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